Jeune écrivain ...
rideau
A 7 ans, Louis a déjà lu Télémaque, dévore Dickens, fond sur les œuvres de Romain Rolland, Tolstoï ou Dostoïevski. Depuis peu, il s'essaie même à l'écriture (Quelle âme divine, 1903). « Je ne me souviens pas d'un temps où je n'aie pas écrit, car j'ai vraiment toujours écrit, même quand je ne savais pas écrire: je dictais à  mes tantes des textes dont rien n'est resté», commente-t-il plus tard.
Plus tard, le courage dont il témoigne au combat lui vaut, du reste, une citation («Seul médecin du bataillon [...] a fait preuve d'un dévouement et d'une abnégation au-dessus de tout éloge.») qui, loin de lui tourner la tête, l'autorisera plus tard à déclarer qu'il «conchie l'armée française dans sa totalité».
Aragon
anecdote
accueil
Accueil
Louis Aragon